Le Kegeti de Chirubikes : Quand le titane sublime l'aventure

Pour cette expédition, nous avons choisi le Kegeti de Chirubikes, un vélo qui incarne la quintessence de la performance, de la durabilité et du confort. Conçu en titane, ce modèle gravel adapté au VTT, idéal pour les conditions variées, reflète une philosophie tournée sur la durabilité.

Le titane ne se contente pas d’être performant, il séduit également par son esthétique. Lorsqu'on passe plus de 50 heures par semaine sur son vélo, l’envie de remonter en selle chaque jour est essentielle.

Et quoi de mieux qu’un design élégant et raffiné pour continuer à être inspiré et motivé ?

Pourquoi le Titane rend le Kegeti unique

1. Une conduite fluide, même dans les pires conditions

   * Rigidité torsionnelle : Chaque coup de pédale est optimisé pour transmettre toute notre puissance, idéal pour des kilomètres sans fin et des terrains techniques.

    * Flexibilité verticale : Les bosses et irrégularités du terrain ? Pas de souci, le cadre les absorbe pour que les sorties courtes ou longues restent un pur plaisir.

    * Filtration des vibrations : Ciaoo les secousses épuisantes ! Que ce soit sur du gravier ou des chemins chaotiques, le titane réduit les vibrations pour rouler plus loin et plus confortablement.

Sans jamais oublié que la posture est un élément clé et essentielle pour s’allier aux spécificités techniques. C’est pour cela que notre partenaire @inetiq se charge de nous installer dans les meilleures conditions sur notre monture (il parait qu’on pourra lire le journal !).

2. Construit pour durer une vie (ou plus ?)

Le titane, c’est un peu comme le héros invincible de notre garage. Il combine robustesse, résistance et durabilité :

   * Anti-fatigue et résistant aux impacts : Pas de casse, même quand les conditions deviennent extrêmes. (Bon ok il y a des exemples de titane cassé mais c’est très rare).

   * Zéro corrosion : Une couche naturelle de protection fait que le cadre reste comme neuf, même après des années sous la pluie ou la boue. Biensur l’entretien est primordial pour l’emmener le plus loin possible.

  * Enfin sur les vélos de la marque, la surface du titane est protégée par une couche de di-oxyde de titane, une barrière contre les effets abrasifs et corrosifs que nous pouvons rencontrer en extérieur (de la sueur à la boue)

Chez Chirubikes, cette confiance se traduit par une garantie à vie sur leurs cadres. C’est leur façon de vous dire qu’ils ne font aucun compromis sur la qualité.

3. Un matériau éco-responsable

Certes, fabriquer du titane demande beaucoup d’énergie, mais sa durée de vie exceptionnelle et sa recyclabilité en font un choix finalement écoresponsable. Des circuits de recyclage permettent de réutiliser les chutes de matière, limitant ainsi l’impact environnemental. En optant pour un Kegeti, on a opté dans un cadre durable, réparable et intemporel, loin des modèles jetables qui encombrent trop souvent le marché.

4. Le Kegeti, l’aventurier polyvalent

Pensé pour les amateurs d’exploration, le Kegeti coche toutes les cases :

  * Cadre gravel et option VTT : Une vraie bête de polyvalence, parfaite pour les sentiers techniques, les pistes de gravier ou même des routes un peu (beaucoup) cassées.

    *  Nos choix pour le Flat bar et les composants en titane : La tige de selle, la flat bar, la potence et la fourche offrent une maniabilité accrue, un poids plume, une robustesse et une esthétique qui ne laisse personne indifférent.

Parlons roues et transmission : Nos choix techniques

Le titane, c’est génial, mais pour compléter le Kegeti, il fallait des roues et un groupe à la hauteur de nos ambitions. On vous explique pourquoi et comment nous avons fait nos choix.

Les Roues Duke : Du fait main à la française 🇫🇷

Quand on parle de roues, Duke s’est imposé comme un partenaire évident. Pourquoi ?

Parce que c’est une marque française (Cocorico) avec un savoir-faire reconnu depuis 2008. Leurs roues sont montées à la main dans leurs ateliers en Vendée, et après plusieurs échanges avec eux, ils ont conçu des roues sur-mesure pour répondre parfaitement à nos besoins.

Nous avons opté pour les Lucky Star HD, des roues en aluminium. Voici pourquoi :

   * Robustesse avant tout : En ultra-cyclisme, la fiabilité est primordiale, et le poids n’était pas notre priorité. L’alu s’est avéré être le choix le plus sûr pour affronter les conditions les plus rudes.

  * Montage technique soigné : Avec 32 rayons, les contraintes liées au chargement sont parfaitement réparties, ce qui garantit solidité et durabilité.

Les composants techniques des roues

      Moyeux

  * Avant : Nous avons choisi un moyeu SON pour intégrer une dynamo. Elle nous permet de rester autonomes en énergie, essentielle pour recharger nos appareils électroniques lorsque nous serons reculés.

 * Arrière : Le DT Swiss 350, célèbre pour son système à cliquets (Ratchet), combine fiabilité et facilité d’entretien. Il est taillé pour avaler les kilomètres sans broncher.

      Rayons

 * A l’avant : Les Sapim CX-Ray, légers et dynamiques, apportent une excellente réactivité pour un pilotage précis.

 * A l’arrière : Les Sapim CX-Sprint, plus rigides, renforcent la solidité pour supporter des charges importantes et des efforts prolongés.

Transmission et freinage

Shimano XT, Parce qu’on aime quand ça roule (et freine) bien.

Transmission : Simple, Efficace, Pas de Prise de Tête

On a choisi le groupe Shimano XT 1x12 pour une raison simple : robustesse et performances au top. Le mono, c’est un peu la pizza margherita de la transmission : classique, minimaliste, et ça marche à tous les coups.

Plus sérieusement, avec les ratios qu’offrent les cassettes modernes, on n’a pas besoin d’un double dérailleur avant pour l’aventure que l’on prépare.

Voici notre configuration : Plateau de 34 dents et cassette 10-51.

Résultat ? Une polyvalence à toute épreuve. On pourra aussi bien grimper aux arbres que foncer à 35 km/h dans nos prolongateurs.

Les freins : Dompter les Andes (et cuire des œufs)

Les freins Shimano XT, c’est un peu comme un bon café : puissants, fiables, et ils vous réveillent bien quand il faut ralentir en urgence. Avec leurs 4 pistons, ils sont taillés pour avaler les descentes les plus costaudes sans jamais faiblir. Les plaquettes ? Assez grandes pour griller un steak si besoin (ou au moins cuire un œuf en bas d’un col).

Les disques : Parce qu’il ne faut pas plaisanter avec le chargement

* 180 mm à l’avant : histoire de gérer le freinage du vélo, des sacoches, et de l’équipement qu’on embarque. On essaie d’être minimaliste mais sur six mois le confort rentre aussi en compte alors il y aura quelques kilos sur le Kegeti.

* 160 mm à l’arrière : largement suffisant pour stabiliser l’ensemble et éviter que l’arrière ne parte en freestyle dans les virages Andins.


Et si vous ajoutez le poids du cycliste, on vous laisse imaginer… mais disons qu’avec tout ça, le freinage sera aussi net qu’une coupe de cheveux avant un mariage.

Pourquoi ces choix ?

Notre objectif était simple : garantir une résistance optimale tout en maintenant un bon équilibre entre performance et durabilité. Avec ce montage, on est parés pour des kilomètres d’aventures sans avoir à se soucier du matériel. Bon biensur avec toujours un oeil avertit sur l’entretien !

Le Kegeti, ce n’est pas juste un vélo, c’est un compagnon fiable, robuste et prêt à repousser nos limites, c’est le vélo qu’on veut garder toute une vie !

Si tu as envie de découvrir le Kegeti et ses composants.

On te donne rendez-vous sur leur site pour plonger dans leur monde de passion, de performance et de durabilité.



Rédacteur 📝 - Valère Martinat

Photographe 📸 - Simon et Marie Padovani

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